Chaque semaine, nous vous présentons l’une ou l’un des 10 nouveaux associé(e)s dont nous avons annoncé l’entrée au capital de ConvictionsRH le 12 juin 2020.
Incarnations d’une politique d’intrapreneuriat ambitieuse et réussie, c’est leur investissement professionnel et personnel que nous voulons mettre en lumière. Qui sont-ils ? D’où vient leur engagement ? Quelles sont les expertises et les convictions qu’ils portent ? Réponse sous format interview, podcast ou vidéo – chacun a choisi son canal pour s’exprimer !
Aujourd’hui, c’est au tour de Bérengère de Micco, spécialiste SIRH et directrice du bureau de Marseille (qui ouvrira ses portes en septembre 2020) de répondre à nos questions pour se présenter à vous.
– Bonjour Bérengère et félicitations pour cette nouvelle étape dans ta carrière ! Pour commencer, pourrais-tu te présenter ?
Je m’appelle Bérengère de Micco et je fais partie des 10 nouveaux associés de ConvictionsRH. J’ai démarré mes études dans le sud de la France, d’où je suis originaire. C’est en école de commerce que j’ai décidé de m’orienter vers les Ressources Humaines. L’une de mes professeures était DRH dans une grande structure et ça a été le coup de foudre ! Après un an d’échange à l’université de Nanjing, en Chine, j’ai décidé de me lancer dans cette branche et, 10 ans plus tard, je ne regrette pas mon choix !
– Comment as-tu rejoint les rangs de ConvictionsRH ?
J’ai effectué mon stage de fin d’études chez Axa et c’est là-bas, en travaillant sur un projet SIRH que j’ai fait la rencontre de ConvictionsRH : de Jean-Pierre Beylat, l’un des associés historiques et de Damien Laygue qui vient lui aussi de passer associé. Cela a été une double rencontre : non seulement celle de mon futur cabinet mais aussi celle de ma future expertise : le SIRH.
Trois jours après la fin de mon stage, en février 2011, j’ai rejoint le cabinet en tant que consultante junior. Puis, j’ai gravi les échelons un à un, toujours sur la thématique SIRH mais en m’ouvrant aussi à de nouvelles expertises comme le développement des talents, la formation et la gestion des compétences.
– Qu’est-ce qui a changé depuis ton arrivée ?
Quand je suis arrivé en 2011, nous devions être une trentaine travaillant dans des petits locaux rue Montmartre. Depuis, nous avons fait du chemin ! Nous avons grandi de manière très rapide, passant de 30 à 100 collaborateurs puis de 100 à presque 200. J’avoue avoir alors craint que l’on perde notre ADN, ce côté chaleureux et solidaire que je vivais au quotidien et qui me plaisait tant. Mais très vite je me suis rendue compte que l’inverse était vrai, que nos valeurs s’en trouvaient renforcées. Cette croissance, c’est surtout une formidable opportunité.
– Quel va être ton rôle en tant qu’associée ?
En premier lieu, mon rôle va rester celui de consultante. Je vais continuer à aller chez mes clients, à les aider à se développer, à les accompagner sur diverses missions. Cela doit et cela va rester le coeur de mon activité.
Mais en plus de ce rôle, je vais aussi participer activement au développement du cabinet, challenger les décisions et les actions qui sont prises afin d’être sûre et certaine que ce sont les meilleures pour le cabinet et ceux qui y travaillent. Je vais aussi veiller à ce que l’on conserve nos valeurs. Continuer de faire un sorte que de jeunes consultants comme j’ai pu l’être puisse s’y développer et gravir l’échelle jusqu’au statut d’associé. C’est une belle mission, non ?
Et, en plus de tout cela, j’endosse dès septembre un troisième rôle : celui de directrice du bureau de Marseille ! Cela signifie que je serai en charge de créer une nouvelle antenne, de développer nos expertises dans la région, comme Jennifer ou Aurélie ont pu le faire, respectivement à Bordeaux et Lyon. C’est un nouveau défi que j’ai hâte de relever.
– Consultante, Manager, Senior Manager, Associée et directrice du bureau de Marseille, ConvictionsRH t’en a fait vivre des aventures !
C’est sûr ! C’est la beauté de notre métier mais aussi et surtout de notre cabinet. ConvictionsRH m’a permis de vivre un nombre incroyable d’aventures, aussi bien dans ma vie professionnelle que ma vie personnelle.
À titre d’exemple, en 2018, après 8 ans de travail, j’ai demandé à la direction s’ils accepteraient que je prenne un congé sabbatique. La réponse a tout de suite été positive et particulièrement bien accueillie. Pendant 6 mois j’ai donc pu faire le tour du monde, de l’Afrique du Sud à l’Inde en passant par le continent américain avant de reprendre ma place au sein de ConvictionsRH, le plus naturellement du monde. J’aime à croire que ces voyages m’ont permis d’être meilleure dans ce que je fais, de pouvoir savoir prendre plus de recul quand c’est nécessaire.
– Que retiens-tu de ces 9 années passées en tant que consultante chez ConvictionsRH ?
Que, particulièrement dans le monde du conseil, on apprend en marchant. Il faut constamment se challenger, se démener, trouver de nouvelles solutions, celle qui correspondra aux besoins de ce client en particulier. Je ne crois pas aux solutions sur étagère. Cela nous oblige à toujours être en mouvement, à être en constant apprentissage. Le jeu en vaut la chandelle, on ne se s’ennuie jamais !
Nous apprenons en équipe, en partageant nos expériences, nos échecs et nos succès. C’est cela qui permet de grandir. C’est particulièrement vrai, je pense, chez ConvictionsRH où l’intelligence collective fait partie de nos valeurs. Nous échangeons beaucoup et nous n’hésitons pas à demander de l’aide à nos collègues comme à nos supérieurs et je compte bien continuer à faire ainsi maintenant que je suis associée !
C’est en en demandant conseil aux managers et associés historiques que je me suis formée et que j’ai pu arriver là où j’en suis aujourd’hui. J’espère pouvoir rendre la pareille.
– Quel est ton plus beau retour client ?
“Nous n’y serions jamais arrivés sans vous.” ou “Vous nous êtes indispensable”. Il y a quelque chose de très gratifiant dans notre métier. Une entreprise vient nous voir avec un réel besoin, un point de douleur et, en travaillant ensemble, en y trouvant une forme de plaisir, en se faisant confiance mutuellement, en itérant, en s’appuyant sur nos compétences, celles de nos collègues mais aussi celles de nos clients, nous le faisons disparaître. C’est quelque chose de concret et c’est ce qui me motive au quotidien.
– Enfin, si tu pouvais claquer des doigts et changer quelque chose chez ConvictionsRH qu’est-ce que cela serait ?
Rien. Je ne claquerai pas des doigts ! J’aime ConvictionsRH comme nous sommes, un cabinet humain qui replace l’humain au coeur des transformations, où il est agréable de travailler, où il est possible de gravir les échelons, où l’on prône l’excellence et le dépassement de soi, mais surtout la bienveillance.
