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Qu’est ce que la Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences ou GPEC ? Comment et pourquoi développer cette démarche ? Pour vous aider à structurer cette démarche mais aussi à déployer les outils nécessaires, nous vous accompagnons tout au long de ce processus. 

 

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Qu’est-ce que la GPEC ?

Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences : n.f – La Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences (GPEC) est une démarche qui permet à l’entreprise de trouver un équilibre (qualitatif, les compétences et quantitatif, le nombre de collaborateurs) entre ses besoins et ses ressources en personnel. 

 

Pourquoi mettre en place un projet de GPEC ?

 Le fait de suivre et analyser les tendances d’évolution des emplois et de leur environnement, permet de définir et d’anticiper les futurs besoins en termes d’activités et de compétences. En ce sens, la GPEC est un levier pour adapter en continu les métiers et développer les compétences et l’employabilité des collaborateurs en lien avec facteurs d’évolution internes (réorganisations, retraites, mobilités…) ou externes (marché du travail, diplômes, enjeux sociétaux…).

 

GPEC ou GEPP ?

Dit-on plutôt GPEC (Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences) ou GEPP (Gestion des Emplois et des Parcours Professionnels) ?

Les deux sont corrects !

Chez convictionsRH, au delà de l’acronyme ou de l’obligation légale (que nous évoquons plus bas dans cet article), nous nous appuyons sur deux éléments : 

  • On part de la stratégie de l’entreprise : quelles sont les compétences dont elle aura besoin dans le futur.
  • La mise en oeuvre de la démarche. Pour cela, on s’appuie sur les besoin individuels et collectifs par des parcours professionnels qui permettent de soutenir l’employabilité des collaborateurs.

Globalement c’est une démarche qui se veut pragmatique avec un levier organisationnel, stratégique et humain qui permet d’accompagner les transformations engagées par l’entreprise.

 

L’essentiel de la Gestion Prévisionnelle de l’Emploi et des Compétences

Que cette démarche prenne la forme d’une traduction de l’obligation légale de négocier un accord en matière de GPEC ou bien la forme d’une démarche qui place la compétence au cœur du sujet, les défis peuvent être aussi variés que le contexte spécifique à chaque entreprise. Notre accompagnement GPEC est donc par nature dynamique permettant d’agir sur tout ou partie des leviers suivants :

  • La maturité stratégique et opérationnelle de la fonction RH: disposer d’une feuille de route claire fixant les politiques RH prioritaires au regard des ambitions stratégiques d’avenir ; constituer un socle solide et interconnecté de processus et outils de développement RH (formation, recrutement, gestion des talents et de la performance).

  • La conception et la mise en œuvre d’une « boîte à outils » plurielle et évolutive : disposer des outils « incontournables » d’une démarche compétences à l’état de l’art (cartographies, référentiels, fiches métier, etc.) ; négocier, rédiger et suivre le déploiement d’un accord de GPEC ; procéder à la cotation des postes et établir le système de classification équitable, cohérent avec les spécificités de l’organisation et conforme aux obligations conventionnelles. 

  • La corrélation de la démarche avec le contrôle de gestion sociale : envisager un lien direct et étroit du volet qualitatif de la démarche de gestion des compétences avec son pendant quantitatif en matière de Strategic Workforce Planning et Pilotage de la masse salariale.

  • La mobilisation de toutes les parties prenantes : connecter la GPEC à l’ambition stratégique portée par la Direction ; impliquer le management dans l’analyse des tendances d’évolution des métiers et leurs impacts en termes d’activités ou de compétences ; mobiliser et fédérer les équipes opérationnelles autour de l’appropriation des évolutions ; engager un dialogue social transparent et constructif (travaux en groupe paritaire, en Observatoire, avec le CSE, etc.).

     

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Notre valeur ajoutée

Voici quelques-uns des principes clés que nous avons observés dans le cadre de nos accompagnements et qui en favorisent la réussite :

  • Inscrire la démarche dans le projet stratégique et organisationnel global de l’entreprise.

  • Adapter la démarche au niveau de maturité des pratiques RH en vigueur.

  • Concevoir des outils et modes opératoires simples et ergonomiques pour en faciliter l’utilisation à court terme, l’exploitation à moyen terme et l’actualisation à plus long terme.

  • Structurer la démarche et ses moyens pour une gestion RH connectée, en s’appuyant sur des outils GPEC socles qui viennent ensuite irriguer l’ensemble des processus de développement RH (formation, recrutement, gestion des talents, gestion de la performance, etc.).

  • Impliquer toutes les parties prenantes dans la conception et la mise en œuvre des outils et processus de développement des compétences, les responsabiliser quant à leur rôle clé dans la réussite de la démarche.

  • Mettre à disposition des kits d’appropriation rapide des outils construits, au bénéfice d’une gestion partagée à tous les niveaux de l’organisation.

 

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Exemples de livrables pour vous aider à structurer votre GPEC

Nous élaborons une méthodologie sur mesure, adaptée au contexte et aux enjeux spécifiques de nos clients. Voici quelques exemples de livrables que nous sommes susceptibles de produire dans le cadre de nos accompagnements :

  • Prospective des métiers (tendances d’évolution) et projection des effectifs.
  • Matrice de criticité des métiers/activités/compétences (en développement, stables, sensibles, stratégiques, etc.).
  • Cartographie & nomenclature des métiers.
  • Cartographie & référentiel des compétences.
  • Cartographie & référentiel des activités.
  • Fiches métier.
  • Parcours de mobilité interne dans le cadre d’un plan d’adaptation des compétences.
  • Accord de GPEC.
  • Glossaire GPEC.
  • Cartographie des dispositifs conventionnels de classification.
  • Architecture et grille de classification.
  • Tableau de correspondance entre les emplois-repères conventionnels et les métiers et postes de l’entreprise.
  • Etude d’impacts en termes de rémunération.

 

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3 Points clés pour bien appréhender la GPEC

 

Voici les trois problématiques de fond qui invitent à approcher la GPEC d’une autre manière :

1) Le caractère de moins en moins figé des emplois

L’emploi, cœur de réacteur de la GPEC, est de plus en plus mouvant. Il est par nature constitué d’une multitude d’activités déclinées en tâches, tâches pour lesquelles il faut mobiliser des compétences, qui seront ensuite regroupées dans des référentiels utilisés par les entreprises. Or, les activités de ces métiers sont de plus en plus difficiles à circonscrire, du fait de la diversité et multiplicité des facteurs qui les impactent (réorganisation, redéfinition des axes stratégiques, évolution des environnements de travail, etc.) et de l’émergence de nouveaux outils et modes de collaboration. Il est donc indispensable d’avoir une démarche aussi agile que possible.

 


2) L’émergence d’acteurs proposant de nouvelles solutions pour gérer les compétences

Afin de s’adapter à ce besoin d’agilité, de nombreux acteurs dont les technologies et algorithmes permettent notamment de capter, regrouper, et analyser les compétences ont vu le jour. Il faut donc désormais compter avec ces nouveaux acteurs et savoir bien décrypter l’adéquation entre le potentiel offert par leur solution et les besoins réels des entreprises en matière de gestion des compétences.

 


3) Le niveau de maturité des entreprises en matière de gestion actuelle de leurs ressources humaines

Avant d’entreprendre une démarche de gestion prévisionnelle, il est souvent nécessaire de commencer par optimiser la gestion actuelle des ressources humaines (en termes de pratiques, outils et/ou processus) et ainsi procéder à l’identification de zones de carence afin d’entamer une démarche ciblée sur les principaux points de douleur. Il s’agira notamment de s’assurer que l’entreprise dispose a minima d’une nomenclature et cartographie des métiers, de référentiel de compétences et de fiches métier à l’état de l’art.

C’est en prenant en compte ces trois problématiques – l’imprévisibilité de l’emploi, l’émergence de nouveaux acteurs et le niveau de maturité des entreprises – que l’on pourra réellement appréhender les nouveaux enjeux de la GPEC et la faire évoluer de façon agile.

 

→ Prendre contact avec ConvictionsRH 

 

 

Les 4 étapes d’une démarche GPEC

 

Les 4 étapes de la GPEC

 

 

1 – Réaliser un état des lieux des métiers et compétences présents dans votre entreprise

La première étape d’une démarche GPEC consiste à réaliser un état des lieux des métiers et compétences présents au sein de votre entreprise.

Vous disposez très probablement déjà de l’ensemble des informations mais il est nécessaire de formaliser, d’organiser toutes vos données. Cela peut se traduire concrètement par la création ou la mise à jour de « fiches fonctions », « référentiels métiers », « référentiels de compétences ».

 

2 – Prévoir l’évolution de votre entreprise au sein de son ou de ses marché(s) et les besoins RH qui en découlent

Quelles sont les tendances sur votre marché (évolutions techniques, légales, tendances de consommation sur le long terme, innovations envisagées, évolutions de la concurrence…) ?

Au sein de ce(s) marché(s) quels sont les objectifs de votre entreprise (développement de nouveaux produits / services, développement international, ouverture de nouveaux points de vente, de nouveaux sites de production, adaptation à de nouvelles normes ou contraintes…).

Cette étape concerne bien entendu l’entreprise dans sa globalité et pas seulement le domaine RH.

Pour résumer, il s’agit simplement de déterminer la stratégie de votre entreprise sur le moyen / long terme (ou du moins d’en prendre connaissance dans le détail).

Une fois la stratégie d’entreprise clairement établie / connue, il est nécessaire de la décliner sous un angle RH.

En fonction des évolutions prévues : quelles sont les compétences, quels sont les nouveaux métiers, dont votre entreprise va avoir besoin dans les prochaines années ?

Quels sont, au contraire, les compétences et les emplois / métiers qui auront tendance à être moins stratégiques, voire même, qui seront amenés à disparaitre ?

Cette démarche d’anticipation doit, au-delà de la stratégie, prendre en compte des éléments tel que la pyramide des âges (anticipation des départs à la retraite) ou le turnover au sein de votre entreprise…

 

3 – Planifier l’adaptation de vos ressources

Vous disposez d’une vision claire des :

  • Emplois et compétences actuellement présents dans votre entreprise
  • Emplois et compétences dont vous aurez besoin (ou pas) à moyen / long terme

Vous pouvez repartir vos emplois et compétences en plusieurs catégories :

  • Emplois / compétences stables 
  • Emplois / compétences en transformation
  • Emplois / compétences totalement nouveaux
  • Emploi / compétences en décroissance

 

Vous êtes donc en mesure d’établir un plan d’actions concret et précis et ainsi fixer les actions à mettre en œuvre pour combler le gap entre la situation actuelle et vos futurs besoins RH.

Ces actions peuvent être de natures différentes :

  • Évolution des compétences des collaborateurs actuels / formation
  • Mobilité
  • Recrutement

 

4 – Mise en œuvre, suivi et adaptation de votre plan GPEC

Une fois le plan d’actions élaboré, il s’agit bien entendu de passer à sa mise en œuvre concrète de suivre et de mesurer les résultats obtenus et de faire vivre votre démarche GPEC sur le long terme.

La vidéo ci-dessous présente des témoignages sur le déploiement d’outil de gestion des compétences par convictionsRH :

 

 

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GPEC & GEPP : les aspects légaux

 

Depuis la loi de programmation pour la cohésion sociale du 18 janvier 2005 (dite « loi Borloo »), les sociétés de plus de 300 salariés (ou les entreprises / groupes communautaires employant plus de 150 personnes en France) étaient tenues de procéder à une négociation triennale sur la Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences.

Cette loi avait été complétée, en 2015, par la « loi relative au dialogue social et à l’emploi », dites « loi Rebsamen »

Il faut noter que si ces lois imposaient des négociations triennales (pour les entreprises précédemment citées) sur la GPEC, elles n’obligeaient pas à la signature d’un accord.

 

2017 : de la GPEC à la GEPP

En 2017, les ordonnances dites « ordonnances Macron », cessent d’utiliser la notion de GPEC pour la remplacer par celle de GEPP (Gestion des Emplois et Parcours Professionnels).

Dans le cadre de ces ordonnances, la GEPP intègre des notions supplémentaires par rapport à la GPEC :

  • Apparition de la notion de « parcours professionnels».
  • La notion de « formation professionnelle » disparait au profit de la « formation en continue».
  • Prise en compte de la transition écologique (qui nécessite une forte adaptation de la part des entreprises).

 

Depuis 2017 et le passage de la GPEC à la GEPP :

  • Les négociations ne sont plus obligatoirement triennales. La périodicité peut être fixée par les partenaires sociaux tant qu’elle n’excède pas un délai de quatre ans.
  • Le périmètre des entreprises concernées reste le même (groupes de 300 salariés et plus, entreprise ou groupe internationaux comportant un établissement ou une entreprise d’au moins 150 salariés en France).
  • Si les négociations sont obligatoires, il n’y a pas d’obligation de signer un accord.

 

La GPEC en 2023

 

La GPEC est depuis longtemps l’un des piliers de toutes les stratégies RH. Mais cela est peut-être encore plus vrai en 2023.

En effet, aujourd’hui, les organisations sont plus que jamais confrontées à des mutations importantes :

  • La digitalisation
  • Les contraintes liées à la transition écologique
  • Les difficultés de recrutement des talents dans certains secteurs
  • L’évolution de la perception de la « valeur travail » au sein des jeunes générations (et pas seulement… voir le phénomène de « quiet quitting »)
  • Et enfin, depuis fin 2022, la démocratisation des outils basés sur l’Intelligence Artificielle

 

Ainsi, toute entreprise, quelle que soit sa taille ou son secteur d’activité, va devoir faire face à de multiples mutations qui auront des impacts profonds sur son activité, ses métiers et les compétences dont elle a besoin. Il est donc plus important que jamais, pour les dirigeants d’organisations et les responsables RH, de bâtir des scénarios, d’anticiper, de planifier… et donc de mettre en place une politique de gestion des emplois et des compétences solide et pertinente.

 

GPEC / GEPP : anticipation des évolutions des métiers par les entreprises françaises en 2023 (extrait de notre benchmark)

Évolutions technologiques, juridiques, stratégiques, organisationnelles, les métiers subissent un rythme de transformation qui s’accélère et impose aux services RH anticipation et réactivité pour favoriser les montées en compétences nécessaires.

L’identification des postes critiques, qui permet de repérer les postes qui sont en forte évolution, ceux qui sont en risque de disparition ou au contraire en création, est déjà réalisée dans la moitié des organisations. Seules 10% des structures n’ont pas mis en place un processus d’identification des postes critiques. Près d’un tiers des organisations ont un projet de mise en œuvre de cette démarche. On peut toutefois imaginer que dans les prochaines années, la démarche devrait s’installer telle une norme pour tous.

L’identification est bien plus courante dans les entreprises disposant de services RH importants (63%). Cette tendance n’est pas pour autant liée à la taille de l’entreprise.

S’il est admis qu’il est essentiel et stratégique, ce processus demande de la mobilisation et une charge que les services RH ne peuvent pas toujours dégager.

GPEC 2023 identification des poste critiquesGPEC 2023 : plans d'actions pour postes critiques

Source : Benchmark fonction RH 2023

Si la détection semble devenir peu à peu la règle, il n’en va pas de même pour la mise en place de plans d’actions associés. Seules 23% des entreprises ayant mis en place une identification ou en ayant le projet, ont développé des plans d’actions spécifiques permettant d’anticiper les besoins de demain.

L’engagement dans un plan d’actions semble directement lié à la taille de l’entreprise et/ou de son service RH. La combinaison met à jour des choix très différents : les plus petites organisations ayant mis un accent particulier sur les RH sont plus nombreuses à avoir mis en place un plan d’actions associé à l’identification des postes critiques alors que pour celles disposant de services plus réduits par rapport à leur taille, ces plans d’actions restent encore à l’état de projet ou sont en cours de réalisation. La mise en place d’une démarche globale, cohérente et intégrée, dans les plus grandes organisations semble plus longue à mettre en place. Toutefois, cela n’exclut pas la mise en œuvre spécifique et pragmatique d’actions ciblées.

La réalisation effective est plus forte dans les entreprises de services (39%), le sujet apparaissant plus souvent à l’état de projets dans le secteur productif.

 
 

 

 

 

 

Conclusion : nos convictions, notre approche

La GPEC ne permet définitivement pas de prédire l’avenir mais elle permet d’essayer de l’anticiper et surtout de le construire. La Gestion Prévisionnelle des Emplois et Compétences  consiste à determiner  qui placer, à quel endroit et à quel moment mais sur un plan collectif.

 

Chez convictionsRH, nous avons fait trois observations :

  • Beaucoup d’entreprises souhaitent mettre en place une démarche GPEC là où, en réalité, elles n’ont pas le niveau de maturité en termes de pratiques, d’outils et de processus.
  • Il est très difficile pour les entreprises d’identifier clairement quels sont les emplois qui peuvent être impactés, dans quelle mesure ils le sont et à quel horizon.
  • Les entreprises qui ont mis en place une démarche GPEC peinent à la faire vivre.

 

Chez convictionsRH, nous proposons une approche plus simple, plus pragmatique et porteuse de sens :

  • Plus simple car nous allons mettre la focale sur des temps forts et restreints, pour être corrélés à vos besoins.
  • Plus pragmatique car nous mettrons en place des outils que nous co-construirons avec vous en fonction de votre réalité (plutôt que de calquer des outils existants sur votre réalité).
  • Porteuse de sens car nous articulerons la démarche avec la chaîne de valeur RH impactée (recrutement, intégration, mobilité, gestion des carrières, formation…).

 

→ En apprendre plus sur notre approche 

 

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